Parce que je suis un pétochard
Ici le Tido.
Charles COUDRAY (ça n'est pas son vrai nom, mais depuis ma rencontre avec Rosy, je vois l'anonymat d'un tout autre œil ; d'autre part, la prochaine loi Hadopi fait que certainement une bonne centaine (voire plus) d'employés français du gouvernement français lit (voire lisent) absolument tout ce que j'envoie et reçois, et espionne chacun des petits octets français que j'envoie et reçois aussi sur l'Internet pour savoir s'ils ne feraient pas des fois partie d'une œuvre d'art française pondue par un de nos artistes français contemporains que la frénésie de téléchargement de certains mauvais Français prive de revenus français, mais là n'est pas du tout mon propos, je voulais juste dire que je changeais désormais les noms, que ça amuserait ceux qui les connaissent et je reprends à zéro...)
Charles COUDRAY (disais-je donc) me convoque dans son bureau et en ferme les portes.
Ça fait déjà peur.
- Tido, j'ai décidé de ne pas renouveler ta période d'essai...
(schbong)
Je pense que ceux qui sont déjà passés par quelques mois de chômage comprendront mon état d'esprit dans la seconde qui a suivi cette phrase, et j'espère vivement que ceux qui ne sont pas passés par là comprendront aussi.
Et puis Charles a continué tranquillement, en essayant de m'empêcher de discerner la pétillante malice dans son œil :
- ... parce que j'ai décidé de t'intégrer officiellement et définitivement dans nos effectifs dès le premier mai, afin de te mettre en confiance et te rassurer. Maintenant, bosse : je compte sur toi.